Merci, merci à Chris Gork et son film THE DARKEST HOUR de m’apprendre à repousser mes limites à cinéma. En effet chaque année me permet de redécouvrir ce qui me semblait l'impossible. Il ya un an, je jurée avoirs enfin atteint l’essence , que dis-je, la quintessence de la nullité en cinéma en visionnant BATTLESHIP. Mais que né-ni depuis ce soir je me rends compte que BATTLESHIP était au moins pas si moche à regarder.
Comme quoi on en apprend toujours, j'aurais mieux fait de regarder la 17, au moins il ya avait Eric le vampire...c'est toujours agréable à l'oeil.
Mille excuses pour mon orthographe déplorable ce soir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire